Virginie Garnier
Je suis née dans l'arrière pays niçois, sur les collines, en avril 77, ce qui fait de moi une mordue de Yves Klein, de petits farcis et de Jean Michel Jarre.
Lorsque mon oncle m'a donné un agrandisseur noir et blanc que j'ai installé dans ma cave, la photographie s'est imposée à moi. J'ai acheté mon premier Canon grâce à mon boulot d'été comme serveuse dans un glacier. Je faisais poser mes copines et je développais mes négatifs pendant des heures. J'avais 17 ans.
Après la fac, j'ai perdue la photo de vue et me suis perdue dans les méandres des études de communication à Paris pour devenir attachée de presse pendant quelques années. Un jour, après avoir assisté à une séance de photo culinaire pour l'un de mes clients, la photographie s'est rappelée à moi. J'avais 30 ans, trop de temps perdu, des remords, des regrets, et pourtant qu'une seule vie.
J’ai démissionné et investi dans du numérique pour faire de la photo culinaire. C'était juste le début de la grande mode de la cuisine, des restos, des cuisiniers. Une aubaine.
Aujourd'hui, j'ai 40 ans, 2 enfants, et une passion folle pour mon métier qui me permet de croiser la route de très nombreuses personnes : des stylistes de talent qui travaillent avec moi tous les jours, des éditeurs qui me font confiance, des chefs, des agences ou des marques fidèles qui me rendent la vie plus belle. Tous les jours, je me dis que j'ai de la chance et, parfois, je crois même que je ne réalise pas tout à fait...
Lorsque mon oncle m'a donné un agrandisseur noir et blanc que j'ai installé dans ma cave, la photographie s'est imposée à moi. J'ai acheté mon premier Canon grâce à mon boulot d'été comme serveuse dans un glacier. Je faisais poser mes copines et je développais mes négatifs pendant des heures. J'avais 17 ans.
Après la fac, j'ai perdue la photo de vue et me suis perdue dans les méandres des études de communication à Paris pour devenir attachée de presse pendant quelques années. Un jour, après avoir assisté à une séance de photo culinaire pour l'un de mes clients, la photographie s'est rappelée à moi. J'avais 30 ans, trop de temps perdu, des remords, des regrets, et pourtant qu'une seule vie.
J’ai démissionné et investi dans du numérique pour faire de la photo culinaire. C'était juste le début de la grande mode de la cuisine, des restos, des cuisiniers. Une aubaine.
Aujourd'hui, j'ai 40 ans, 2 enfants, et une passion folle pour mon métier qui me permet de croiser la route de très nombreuses personnes : des stylistes de talent qui travaillent avec moi tous les jours, des éditeurs qui me font confiance, des chefs, des agences ou des marques fidèles qui me rendent la vie plus belle. Tous les jours, je me dis que j'ai de la chance et, parfois, je crois même que je ne réalise pas tout à fait...
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